Le groupe de rock menace le président américain de le poursuivre en justice s’il continue d’utiliser leur musique. Comme d’autres artistes (Queen s’était insurgé contre l’utilisation de We Are the Champions, le groupe avait expliqué que leur tube avait été utilisé « contre leur volonté. » Idem pour Adele, R.E.M, Neil Young…), les Rolling Stones refusent que certaines de leurs chansons soient utilisées lors des meetings du président.

Les rockeurs sont en lien avec l’organisme américain de protection des droits musicaux, BMI, qui a prévenu que tout futur usage d’une œuvre des Rolling Stones, lors de la campagne de Donald Trump, violerait son accord de licence avec l’organisation.

 

 

 

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