Le syndicat professionnel des Brasseurs de France explique :
« La fermeture brutale des cafés, restaurants, l’arrêt des activités touristiques et l’annulation de tous les festivals et salons a laissé plus de 10 millions de litres de bières, majoritairement en fûts, en souffrance. » Les bières en vogue, souvent non pasteurisées, au contraire des bières blondes classiques, perdent leurs effets olfactif et gustatif . »
Cette destruction représentera plusieurs millions d’euros de pertes pour des brasseurs, parfois fragiles financièrement.
Une aide à la « destruction des stocks de bière » a été demandée, de la même façon que les viticulteurs, auprès de Bruxelles, pour le vin.
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