Nous utiliserions bien 100% de notre cerveau et non 10%, comme cela a été souvent dit.

L’imagerie médicale ayant fait beaucoup de progrès,  elle montre qu’aucune zone de notre cerveau n’est inactive de façon permanente, même quand on dort. Si on bouge un doigt par exemple, une partie de notre cerveau s’activera plus que les autres, mais il existera quand même une sorte d’activité de fond.

Sachant que même une petite altération peut provoquer de graves séquelles, si le cerveau n’était utilisé qu’à 10%, il n’aurait aucun problème à se réadapter après un traumatisme.

 

 

Lire l’intégralité de l’article franceinfo : Cerveau : la fin d’un mythe