C’est ce qu’une étude des scientifiques de l’Université de Californie du Sud (USC) aurait révélé.
Ils viennent d’analyser les IRM de 998 femmes âgées, et les résultats révèlent un nouvel effet à l’exposition à la pollution, et notamment aux particules fines PM2.5.
Un effet d’atrophie cérébrale qui induit le déclin cognitif et s’avère ainsi un facteur de risque de maladie d’Alzheimer. Alors que l’exposition in utero ou à l’enfance à la pollution est déjà associée à des troubles de développement du cerveau, ces travaux, présentés dans la revue Brain, élargissent ses effets cognitifs aux cerveaux des plus âgés. Ils suggèrent également un nouveau facteur de risque, évitable dans une certaine mesure, de la maladie d’Alzheimer.
Avec la pollution que rencontre la vallée de l’Arve depuis plusieurs années, même si ce n’est pas le seul coin de France qui rencontre ce problème, cette étude mérite d’être lue.
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