Les cheminots, ayant cessé leur travail en faisant valoir leur droit de retrait, ont reçu hier matin un e-mail leur ordonnant de reprendre le travail sous peine de « poursuites disciplinaires. »
Dans cette lettre, la direction écrit qu’« un éventuel refus » expose également les salariés « à des retenues sur salaire. »
La direction indique que « les critères exigés par la loi et la jurisprudence en matière de droit de retrait d’une situation de travail ne sont pas réunis. »
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