Ces petits tas de pierres qui au départ avaient pour but d’indiquer le chemin aux randonneurs, est devenu en quelques années un classique des réseaux sociaux, et notamment Instagram.
A tel point que, si on en croit Didier Olivry, délégué au rivage du Conservatoire du littoral breton, cela devient un vrai fléau :
« Ce n’est pas bien méchant s’il y en a un ou deux mais à cette dose, c’est une atteinte à l’écosystème et à la végétation protectrice du bord de mer. Même si ça paraît stérile, les cordons de galets ont une vraie utilité, par exemple pour les choux marins ou les gravelots, ces oiseaux qui pondent directement dedans, sans nid. Leur période de reproduction coïncide avec la période estivale ».
Bientôt un panneau « interdit au Cairns » sur le plages ???
Et vous qu’en pensez vous ?